J'espère que nous allons pouvoir reprendre nos débats sachant, monsieur le secrétaire d'État, que ce n'est pas en l'occurrence une affaire de droite et de gauche : il s'agit de la conduite de nos débats. C'est une question qui devrait tous nous réunir, que nous soyons de gauche ou de droite, parce que l'Assemblée c'est notre bien commun. Et ce matin, dans la presse, ce dont il est question ce n'est pas d'une victoire des uns sur les autres, c'est d'un échec collectif, global, parce que cette assemblée elle est ridicule.