Oui, vous avez raison, madame la secrétaire d'État : c'est la personne condamnée qui paiera. Mais les stages risquent de n'avoir aucun effet concret. C'est avant tout un problème de culture et d'éducation. Je voudrais que vous répondiez très précisément à cette question : que prévoyez-vous dans le cadre de ces stages et pourquoi, d'ailleurs, instituez-vous une telle palette de stages ?