J'essaierai d'être brève car j'ai déjà apporté des éléments de réponse, notamment, en évoquant les trois séances d'éducation à la vie affective et sexuelle inscrites dans la loi du 4 juillet 2001, que nous mettons véritablement en application, ainsi que la circulaire Blanquer et le catalogue des associations pouvant assurer les IMS, les interventions en milieu scolaire.
Néanmoins, à titre personnel, je vous remercie de rappeler dans cet hémicycle que la théorie du genre n'existe pas ; c'est important.
Cela dit, pour les raisons que je viens d'évoquer – les dispositions sont déjà inscrites dans la loi, prévues et mises en application par le Gouvernement – , je donne toutefois un avis défavorable sur l'amendement.