Il est identique et tend, dans la lignée de l'article 48 de la loi Grenelle I, à fixer des objectifs vertueux. Puisque l'on sait maintenant que la déforestation importée est un problème majeur pour la biodiversité et le réchauffement climatique, l'État se doit de montrer l'exemple.
L'échéance que nous proposons est plus tard de deux ans que celle prévue par M. Bouillon, en raison des difficultés d'application qui se posent. Nous voulons aider notre administration à être exemplaire et lui donner le temps. Je pense notamment aux critères de certification, qui ne sont pas encore complètement au point aujourd'hui – mais cela va avancer.