Pour le coup, je ne partage pas tout à fait l'opinion de la rapporteure : ces amendements identiques ne portent pas uniquement sur les filiales. Qu'il y en ait ou pas, à partir du moment où les organismes HLM peuvent être prestataires de services, notamment auprès des personnes âgées ou en situation de handicap, ils doivent respecter un cadre défini par un cahier des charges comportant un minimum d'exigences et garantissant une égalité de traitement, ainsi qu'un même niveau de prestations, sur l'ensemble du territoire.
La question est donc moins celle de l'existence de filiales que celle d'un cahier des charges encadrant ce développement d'activités nouvelles envisagées par l'article 28, quelque forme qu'elles prennent. Je maintiens donc mon amendement.