Hier, vous défendiez les architectes des Bâtiments de France. Aujourd'hui, c'est la loi MOP !
Pensez-vous que cette « qualité » architecturale – avec tous les guillemets possibles – a été garantie ? Non ! C'est un maître d'ouvrage public, que vous connaissez bien, qui a fait appel à une société d'économie mixte, que vous connaissez bien également. Ce n'est pas la loi MOP qui aurait protégé le site. L'architecte des Bâtiments de France ne l'a pas plus protégé. S'il est dans cet état aujourd'hui, ce n'est pas pour rien !