Dans cet exercice difficile, nous devons prendre des décisions. Comme il ressort des propos tenus ici, chacun a constaté la situation et le nombre considérable de mal-logés en France. Si les mécaniques qui se sont succédé ces dernières années avaient été positives, ou suffisamment positives, nous n'en serions pas là. J'entends que nous ayons une différence d'appréciation sur les remèdes à apporter, mais parler de marchandisation, dire que notre projet de loi engendrerait le succès des marchands de sommeil, c'est aller un peu trop loin.
Monsieur Peu, je respecte vos propos, mais ils sont l'expression de votre vérité, qui n'est pas forcément « la » vérité. On peut avoir des approches différentes.