Vous vous trompez de cible car la plupart des personnes qui occupent un logement sans droit ni titre, notamment dans le parc social, ont été victimes de réseaux. Elles ont payé en liquide un faux contrat de location, souvent de bonne foi, par méconnaissance de la langue ou pour une autre raison.
Ce n'est pas une bonne solution que de les condamner deux fois, une première fois en ce qu'elles ont été abusées par une mafia, une deuxième fois en ce qu'elles seraient privées de perspective de relogement.