Si nous partageons, évidemment, les constats sur lesquels repose cette proposition de loi, nous ne trouvons pas pour autant le dispositif pertinent : en cela, je rejoins la position de M. Saulignac, qui vient de s'exprimer.
Les fake news sapent la confiance dans la vie politique et nos institutions. Le texte qui nous est soumis ne va pas tout régler – loin de là – , mais il est normal que ce sujet soit débattu dans l'hémicycle. Nous espérons pouvoir contribuer à l'améliorer.
Par ailleurs, nous sommes opposés par principe aux motions de rejet préalable, considérant que le débat doit toujours se poursuivre dans notre hémicycle. Nous voterons donc contre cette motion.