La question est aussi de savoir quelle est l'instance décisionnaire qui affirme que l'on passe d'un simple risque à un véritable danger. Le cas du SDHI, par exemple, fait apparaître toute une nouvelle catégorie de perturbateurs métaboliques, et non endocriniens. C'est donc un nouvel ensemble de risques qui apparaît. Qui va prendre la décision de faire des recherches dans ce domaine et qui va distribuer l'argent en fonction de priorités sanitaires ?