J'approuve les propos qui viennent d'être tenus. Monsieur Bernalicis, nous avons déjà eu ce débat en première lecture. Vous avez raison quand vous soulignez que l'inspection du travail fait déjà preuve de discernement. Nous nous contentons de poser les conditions d'un meilleur discernement de ses agents – et non de l'ensemble des agents publics.