En ce qui concerne la sous-traitance, on nous a révélé à plusieurs reprises qu'il y avait parfois des échanges d'habilitations, qu'on ne se retrouvait pas forcément avec la bonne personne et que la présence de tel ou tel dépendait de sa dosimétrie. L'une des options pourrait-elle consister à imposer un carnet nominatif individualisé, si possible avec photo pour qu'on sache à qui on a affaire, recensant les certificats de compétence pour savoir à quel titre les sous-traitants interviennent et dans quels domaines et qui permettent de compiler leur dosimétrie cumulée ? Ce dispositif, observé au Japon, permettrait à la fois de s'assurer qu'on a la bonne personne en face de soi et qu'on ne l'expose pas à des dosimétries cumulées dépassant les seuils en vigueur.