Oui, vous avez bien raison, monsieur le président… Avant toute chose, il faut commencer par écouter l'orateur. C'est un principe que je suis le premier à défendre.
Quand toutes les affaires remonteront au TGI de Paris, comment celui-ci pourra-il statuer en moins de quarante-huit heures sans être engorgé ? Cela posera des problèmes tant pratiques que juridiques, qui se répercuteront dans des contentieux sans fin, y compris au niveau des élections.