Il ne me reste qu'une phrase, monsieur le président.
Pour juger de l'influence qu'un État étranger pourrait exercer sur une seule chaîne, vous conférez au CSA un pouvoir de contrôle extraordinairement large. Ce pouvoir me paraît problématique : nos débats doivent permettre de mieux l'articuler avec le respect de la liberté d'expression.
Je vous remercie de votre indulgence, monsieur le président.