La vérité est que le Parlement n'est que très partiellement responsable de l'inefficacité générale. Le déni de réalité réside dans le fait de refuser de voir que ce sont bien l'exécutif et sa technostructure qui sont en cause. Or rien dans votre pratique du pouvoir ni dans votre projet ne vient corriger ce fait. Bien au contraire, vous vous faites forts de faire tourner plus vite une machine qui tourne déjà à vide.