Nous nous sommes toujours opposés à la présence du Président de la République, notamment en 2008, quand cette détestable mise en scène a été introduite dans notre Constitution.
Je me tourne d'ailleurs vers mon collègue – et non pas camarade – du groupe de la Gauche démocrate et républicaine de l'époque, le député de Rugy, qui avait alors déposé un amendement, que nous avions d'autant plus soutenu que nous appartenions au même groupe parlementaire, pour s'opposer à cette modification de la Constitution.