Nous voulons la dénoncer.
Des petits délinquants deviennent des prêcheurs de haine puis des bombes humaines. Des imams gangrènent notre jeunesse en prétendant lui offrir dans le djihad une porte vers le sacré qui lui fait défaut. Et nous, politiques, nous hésitons, nous avons la main qui tremble – du moins, c'est votre cas – , alors qu'il faudrait s'attaquer à la racine du mal. Nous ne pouvons plus accepter que des hommes se servent de la foi pour embrigader les têtes et corrompre notre société.
Ce n'est pas à l'islam et à l'islamisme de dicter sa conduite à la France.