Nous mettrons en place cette police de la sécurité du quotidien qui permettra aux policiers d'être à nouveau présents dans nos quartiers, donc de savoir ce qui s'y passe, d'y retrouver du renseignement et d'en observer les évolutions.
C'est là qu'on pourra combattre la radicalisation, car c'est là que cela commence. Si on ne connaît plus les quartiers, on ne peut évidemment plus lutter contre la radicalisation.