Madame Vichnievsky, l'administration a eu affaire dans plusieurs régions à des demandeurs d'asile parlant le konso – qui compte 195 000 locuteurs dans le monde ! Vous comprenez qu'il ne pourra s'en trouver forcément un auprès du requérant. En revanche, on peut peut-être trouver un interprète à la CNDA.