Cet amendement tend à supprimer l'OQTF dite « six semaines ». Sur 76 000 OQTF prononcées en 2017, seules 17 % ont été exécutées. Les procédures de signature et de circulation des dossiers, qui n'ont finalement pas d'effet, représentent une réelle perte de temps pour les agents travaillant dans les services des étrangers.