Je ne dirai que quelques mots, car il reste moins d'une dizaine d'amendements à étudier – je ne souhaite pas retarder la fin de l'examen de ce texte. Je remercie la représentation nationale et l'ensemble des groupes politiques, sans exception. Je remercie particulièrement le président Diard, Mme la rapporteure, bien sûr, M. le rapporteur de la commission des lois ainsi que tous les parlementaires composant cette mission. Ils ont beaucoup travaillé et ont trouvé une écoute de la part du Gouvernement – je vous remercie de l'avoir remarqué.
Le Gouvernement a essayé de faire valoir un certain nombre d'arguments et nous avons trouvé un compromis intelligent et efficace. Même si, comme l'a dit M. Bourlanges, quelques glaçons nous séparent encore, ce n'est pas très grave : c'est dans les glaçons que l'on trouve le plus de microbes ! Si l'eau est chimiquement pure et que le verre est à moitié ou aux trois quarts plein, alors nous serons très largement au rendez-vous de la soif de transparence et de justice.
Monsieur de Courson, être un converti ne me paraît pas une mauvaise chose !