Je ne sais pas pourquoi vous m'adressez cette demande. Mettons-nous en jambe ! Votons, c'est une manière de nous préparer. La prochaine fois, après le rapport de la commission des finances, nous serons plus nombreux à voter. Je ne retirerai pas l'amendement car je donnerais ainsi l'impression que je ne crois pas à sa faisabilité.
J'ai entendu dire, de manière très étrange, que ce n'est pas au détour d'un amendement que l'on change la loi. Mais si ! Comment pourriez-vous la changer autrement ?
Je ne dis pas cela pour vous être désagréable, monsieur le ministre, mais, au contraire, pour vous préparer à une idée dont je constate qu'elle vous fait pétiller d'intérêt.