Cet amendement, suggéré par les anciens salariés de GM& S, vise à étendre aux donneurs d'ordre l'obligation actuellement faite aux groupes de plus de 1 000 salariés procédant à des licenciements de contribuer à la revitalisation économique des territoires qui subissent cette saignée.
Ces donneurs d'ordre, qui s'adressent à des sous-traitants, sont parfois des multinationales sans territoire, voire sans patrie. Nous voulons les contraindre à respecter des obligations identiques à celles qui s'imposent aux entreprises de plus de 1 000 salariés.