Je l'ai dit en première lecture puis, la semaine dernière, en commission, mon désaccord de base repose sur le principe qui sous-tend la proposition de loi selon lequel vous vous arrogez le droit de décider ce qu'est la vérité, et ce qui ne l'est pas.
Le Sénat dans sa quasi-unanimité a rejeté votre proposition de loi, l'argument a été répété, mais vous êtes-vous demandé pourquoi les journalistes français sont si nombreux à s'opposer à ce texte ?