Je ne fais pas, madame Ménard, le raisonnement platonicien que vous me prêtez, selon lequel tout ce qui est vrai serait beau et bon. Je vous dis simplement que, lorsque les électeurs votent, même si je ne suis pas d'accord avec eux, ils doivent le faire en ayant un consentement éclairé. C'est tout l'objet de la proposition de loi.
Je vous ai déjà répondu sur l'utilité du juge des référés. Avis défavorable.