Nous avons aussi proposé et soutenu différentes améliorations du texte pour mieux protéger les mineurs, limiter dans le temps l'usage de certaines dispositions comme les assignations à résidence, protéger des visites et perquisitions les locaux professionnels et les domiciles des journalistes, des avocats et des magistrats, et clarifier les voies de recours.
En définitive, notre groupe considère aujourd'hui que les modifications obtenues, notamment l'association d'un contrôle parlementaire exceptionnel à la clause de revoyure, permettent au texte de respecter l'équilibre fragile entre liberté et sécurité. C'est la raison pour laquelle nous voterons pour son adoption.