Cet article 26 prévoit un certain nombre d'évolutions en accord avec les temps qui nous vivons, notamment en ce qui concerne les victimes d'atteintes corporelles.
Je voudrais cependant répéter que le comportement de la majorité au cours de l'examen de ce projet de loi est pour le moins critiquable. Que vous nous fassiez la morale, que vous cherchiez à nous humilier, à nous écarter du débat, je m'en moque, mais il y a les Français, et à eux on doit des comptes.
La semaine dernière, en commission, alors que nous débattions de l'ordonnance de 1945, M . Terlier me répondait : « vos propos me font réagir, cher collègue, car il faut, comme je l'ai dit à M. Ciotti, se garder de vouloir légiférer en réformant l'ordonnance de 45 sous le coup de l'émotion ou par sensationnalisme politicien. » Vous venez de nous dire l'inverse à l'instant.