Je préciserai, comme notre collègue vient de le faire, et pour que les choses soient bien claires, que nous ne touchons absolument pas aux associations de victimes. Les associations de victimes ont évidemment la possibilité de se constituer selon les règles qu'elles souhaitent et nous ne parlons ici que des associations d'aide aux victimes – la distinction est essentielle.
Notre objectif n'est pas de faire le tri entre les associations, mais de les « professionnaliser ». Ce que nous voulons, c'est les faire entrer dans une sorte de contractualisation avec l'État, afin de clarifier leur mode de fonctionnement.