Je tiens à saluer les propos du rapporteur, mon excellent collègue Didier Paris, et de Mme la ministre, non parce qu'ils satisfont notre demande mais parce qu'ils reconnaissent que l'obligation de la publicité des audiences nous contraint à revenir en arrière.
Je suis très sensible à leur décision, qui est sage, et je les remercie d'avoir su revenir sur leur position, ce qui n'est jamais facile.