Pour la montagne, il ne s'agit pas d'un caprice, mais bien d'une demande d'application d'une loi existante, qui a reconnu la spécificité de la montagne. On en fait usage dans d'autres textes, comme ceux sur l'éducation.
Quant à la composition du conseil d'administration, tantôt on nous dit que les candidats que l'on propose pourraient changer de nom, tantôt on nous oppose le risque d'aller vers un niveau de détail trop précis. Ce que l'on retiendra de ces échanges, ce sera surtout que nous ne sommes pas associés, finalement, à la constitution de ce conseil d'administration. C'est bien regrettable.