J'ai écouté le président Mélenchon avec beaucoup de passion et d'émotion. Je veux lui témoigner mon estime pour le rappel historique qu'il a fait du combat pour Mayotte française. Croyez-moi, c'est une très grande fierté, car ce combat est souvent méconnu de nos collègues, sur quelques bancs qu'ils siègent. Souvent, les gens pensent que nous avons fait le choix de la France simplement pour aller chercher du RMI – revenu minimum d'insertion – , qui n'existait pourtant pas au moment où nous avons engagé cette lutte.