Force est de constater que de la proposition initiale, il ne reste presque rien sur le fond : seulement l'article 4. S'il est adopté, il permettra aux médecins exerçant en qualité d'adjoint ou de remplaçant d'exercer dans les zones sous-dotées, et plus seulement en cas d'afflux exceptionnel de population. On peut dire que ce serait déjà un progrès.