Mes amendements étaient plus pragmatiques car ce ne sont pas les enfants déjà suivis par un médecin ou un pédiatre qui ont besoin d'une consultation auprès du médecin scolaire mais ceux qui ne sont pas vus, ceux dont les vaccinations ne sont pas suivies. Il s'agissait d'instituer des droits réels, avec de nouveaux moyens, comme le DMP – nous aurons l'occasion d'en discuter. Au contraire, l'amendement no 927 n'octroie aucun droit réel, dans le sens où nous sommes actuellement dans l'incapacité d'en faire appliquer les dispositions.
Sur la forme, après le débat en commission, j'ai tenté – sans succès – de joindre le cabinet du ministre pour poursuivre la réflexion. J'ai ensuite découvert qu'un amendement, vraisemblablement travaillé avec vous, monsieur le ministre, avait été déposé par le groupe La République en marche, qui reprenait ma proposition.
Sur le fond, comme sur la forme, je suis donc en désaccord.