De plus en plus de réactions traduisent une réelle méfiance vis-à-vis de l'ingérence de l'État dans la vie des familles. Qu'on se rappelle les heures que nous avons passées à discuter sur une proposition de loi visant à interdire les fessées : pour nos compatriotes, que l'on soit pour ou contre la fessée, de quoi l'État se mêle-t-il ? Il faut s'interroger sur cette volonté de l'État de dominer les consciences privées. Mon amendement AC100 vise à retirer l'éducation affective et sexuelle de l'EMC en rappelant la primauté de la famille dans ce domaine.