Cette question renvoie à des débats que nous avions eus lors de l'examen du projet de loi pour la refondation de l'école, où se sont opposées une vision universelle, de l'ensemble, et la notion de « chaque » tendant à une personnalisation emportant la prise en compte de chaque enfant dans ses spécificités, ses talents, mais également ses fragilités. C'est pourquoi, à l'époque, notre choix avait porté sur le mot « chaque ».