Ces derniers mois, deux bruits ont circulé. Selon le premier, relayé en grande partie par une organisation professionnelle, les informations échapperont aux réseaux consulaires une fois le guichet unique mis en place, particulièrement aux chambres des métiers et de l'artisanat. C'est faux, et les discussions que nous avons eues avec l'APCMA ont permis de lever cette ambigüité. Par ailleurs, on a voulu faire accroire que le registre allait devenir une énorme machine impénétrable, que les chambres des métiers et de l'artisanat ne pourraient contrôler. Ce n'est pas du tout le cas, puisque chaque chambre aura un accès gratuit et permanent à l'ensemble des informations contenues dans le registre.
Une inspection menée sur les registres actuels a montré que leur tenue était d'inégale qualité sur l'ensemble du territoire ; il faut harmoniser les conditions d'enregistrement des professionnels et donner un outil solide à l'ensemble du réseau consulaire.