Il précise que les épreuves d'admission en troisième cycle des études de médecine, notamment à l'oral, doivent garantir une équité de traitement entre les étudiants. Les universités ne doivent pas favoriser leurs étudiants. J'ai le souvenir d'épreuves locales d'internat où, le parcours du candidat étant connu, les questions se trouvaient adaptées.
Il faut donc garantir l'anonymat de l'université de provenance de l'étudiant, sans quoi les universités chercheront à garder leurs propres étudiants comme internes. C'est ce qui se passait il y a quelques années, avant qu'une épreuve nationale ne soit organisée.