Je comprends très bien la réponse de Mme la ministre à des questions posées tout à l'heure sur des programmes relatifs à des pathologies comme la maladie de Lyme ou l'endométriose.
En revanche, au présent amendement, il ne s'agit pas de pathologies mais d'un problème de société. De ce fait, la loi peut préciser qu'un enseignement sur les violences faites aux femmes fait partie de la formation dispensée aux étudiants en médecine. En effet, je rejoins sur ce point ma collègue Marie Tamarelle-Verhaeghe, les médecins sont souvent désemparés face aux violences…