À mon tour, je me réjouis de l'avancée que constitue la participation des parlementaires au Fonds de développement de la vie associative. Je tiens simplement à formuler deux remarques. La première, c'est la nécessité de simplifier les démarches pour les bénévoles qui doivent constituer le dossier d'éligibilité à ce fonds. C'est assez compliqué, et ce n'est pas forcément leur métier. La seconde, c'est l'utilité qu'il y aurait à améliorer la communication. Dans mon département, en Mayenne, j'ai constaté que beaucoup d'associations ignoraient l'existence de ce fonds. Le communiqué que le préfet avait publié dans la presse quotidienne régionale s'était avéré insuffisant puisque les associations n'en connaissaient pas l'existence ou ne savaient pas comment y accéder.