Des riches qui sont de plus en plus riches, mais qui n'en finissent pas de se lamenter sur ce trop d'impôts qui leur pourrit la vie, qui n'en finissent pas d'exprimer leur angoisse parce que la somptueuse remise faite sur leur ISF ne suffit pas à éteindre leur panique à la perspective de contribuer mieux, de contribuer plus à la solidarité nationale et donc au financement des services publics et du bien public !
Permettez-moi, monsieur le Premier ministre, de vous tendre mon mouchoir pour sécher les larmes de ces super-privilégiés