M. de Courson a raison : cet article vise 2 % de la population active des micro-entrepreneurs et entraîne une perte cumulée de 21 millions.
Nous aussi, nous nous interrogeons sur la philosophie de la démarche. Il s'agit d'une précarisation en catimini qui permet de masquer les chiffres du chômage, qui dégrade le salariat et qui, élément important, constitue un miroir aux alouettes pour les jeunes : au lieu de s'orienter vers des circuits de formation qualifiante, ils tomberont dans le panneau.
Je l'ai dit tout à l'heure : il s'agit de la mise en forme d'une économie informelle, d'une économie de tiers-monde