Madame la rapporteure, vous avez raison, chaque territoire est unique. Je pourrais citer les baies, les montagnes, les vallons, les vallées, etc. Mais le problème n'est pas là : si nous ne faisons pas attention à la représentation des territoires les plus démunis, les plus fragiles et les plus en difficulté, dans lesquels, en outre, moins de projets seront proposés – les bons élèves seront toujours les premiers –, leurs projets seront moins pris en compte, leurs élus moins capables de les motiver et de faire en sorte que ces territoires comprennent que l'agence travaille pour tous et non uniquement pour ceux ayant plus de moyens. Si vous amenez de la solidarité par le biais du conseil d'administration, les élus des territoires en difficulté seront capables de défendre tous les territoires. Par contre, nous ne sommes pas sûrs de l'inverse…