Dans la droite ligne de l'amendement de Mme Motin, cet amendement de notre collègue Forissier vise à porter le seuil de 1 000 à 15 000 habitants, notamment pour les communes nouvelles, et à donner ainsi un peu de souplesse. Peut-être le secrétaire d'État pourrait-il d'ailleurs le sous-amender en limitant une telle souplesse dans le temps, par exemple, jusqu'en 2026 ? Cela permettrait aux maires des communes qui se regroupent, qui sont tous de bonne volonté, d'avoir le temps de se réorganiser.