Nous allons nous retrouver dans cette situation paradoxale où le dispositif qui va nous permettre d'avoir l'espace de débattre sera le temps législatif programmé qui, initialement, était conçu pour l'inverse : c'est vous dire l'évolution inquiétante que nous connaissons !
Puisque le temps législatif programmé va devenir la planche de salut de l'opposition et des groupes minoritaires, nous proposons que la possibilité de le déclencher ne revienne pas au seul président de l'Assemblée nationale, mais qu'elle soit également offerte aux présidents de groupe.