Jusqu'au bout, notre groupe a privilégié l'apaisement et le dialogue. Ainsi, nous avons obtenu, grâce à une seconde délibération de l'article 8, l'adoption d'un amendement relatif au temps de parole dans la discussion générale, que nous avons rédigé dans un véritable esprit de compromis.
Il s'agissait de renoncer à la réduction à cinq minutes du temps de parole alloué aux groupes politiques dans la discussion générale telle qu'elle était proposée, et de laisser à la Conférence des présidents le soin de décider d'un temps de parole de cinq ou dix minutes, en fonction du degré d'importance d'un texte ou de son volume.