Eh oui, madame la ministre : on nous a dit que l'on devait fermer ces maternités parce que la sécurité des accouchements n'y était plus assurée. D'où les contestations que Mme Buzyn connaît concernant les conditions de sécurité pour les personnes reçues dans ces services.
Il en va de même en l'occurrence. Crûment présenté, cet argument de la sécurité, que vous nous opposez, est évidemment incontestable. Mais, vous le savez, les élus de gauche, en particulier communistes, reçoivent, dans ce secteur peut-être plus encore que de la part des maternités, des informations directes de la CGT.