D'abord, chers collègues, vous n'avez pas le monopole de la vérité. Ce n'est pas parce que nous pensons différemment de vous que nos idées seraient, par essence, fausses. Les Français rejettent massivement cette arrogance.
Quelle est la réalité ? Monsieur Lavergne, nous ne pouvons pas gager les mesures d'une proposition de loi par une baisse des dépenses publiques. Si vous aviez déposé davantage de propositions de loi, vous connaîtriez cette règle élémentaire qui s'impose aux parlementaires.