Nous n'avons pas hésité à débattre de ces politiques commerciales durant la campagne européenne. C'est d'ailleurs à cette époque que les décisions de négociation entre l'Union européenne et les États-Unis ont été prises : la France a assumé de dire non car ce pays est en passe de sortir de l'accord de Paris et que nous ne souhaitons pas signer d'accords commerciaux avec un pays qui ne le respecterait pas. Nous assumons notre ambition pour l'environnement.
Vous avez à votre disposition le texte lui-même, l'étude d'impact du CEPII ainsi que les deux excellents rapports de vos collègues, très documentés. Vous détenez donc de toutes les informations possibles.
Revenons à la réalité. Vous prétendez que nous mettons à genoux la filière bovine, qui n'aura plus qu'à mettre la clé sous la porte. Permettez-moi de rappeler les chiffres tels qu'ils sont.