Pour compléter les éléments de réponse déjà apportés, je préciserai que tout est organisé sous l'égide de l'Agence de la biomédecine, et que des campagnes de communication sont lancées quand les dons sont insuffisants, ce qui n'est pas le cas actuellement. À nouveau, cette collecte nécessite un encadrement. M'en étant occupé dans le cadre des fonctions que j'exerçais avant mon mandat de député, je sais qu'un afflux trop important présente deux risques : celui d'un défaut de prise en charge, et celui de la frustration des personnes qui souhaitent donner.