En fin de compte, ils ne voulaient pas qu'on touche à cet impôt, ils souhaitaient une fiscalité plus juste et plus redistributive, plus progressive. Si M. Macron n'était pas le président des riches, il serait revenu sur des mesures qui bénéficient aux plus riches, notamment la suppression de l'ISF, l'impôt de solidarité sur la fortune, et la création de la flat tax. Vous avez fait un choix politique qui s'adresse aux classes moyennes – mais plutôt supérieures – et ne change rien au statut de président des riches de M. Macron, que vous le vouliez ou non.